Le cancer est
la 1re cause de mortalité
chez l’homme

Le cancer est
la 1re cause de mortalité
chez l’homme
382 000
nouveaux cas de cancer
diagnostiqués en France en 2019
149 500 décès
en 2017 dus au cancer
Les cancers les plus
diagnostiqués sont le
cancer de la prostate
et le cancer du sein
Si la recherche médicale sur le cancer a fait des progrès majeurs au cours des dernières décennies, notamment dans le domaine de la prévention, du diagnostic et du traitement, un nombre important de patients reste confronté à l’échec thérapeutique. Au coeur de la crise sanitaire du Coronavirus, la Fondation de France soutient l’approche d’une médecine personnalisée pour offrir à terme à chaque patient un traitement contre le cancer efficace prenant en compte les spécificités de sa maladie ainsi que son environnement et son mode de vie.
Notre comité d’experts, composé de chercheurs et de médecins reconnus dans le domaine de la recherche sur le cancer, sélectionne les meilleurs projets pour combattre la résistance aux traitements des cancers. Grâce à votre don, nous financerons notamment des travaux portant sur :
Exemple de projet financé grâce à votre don
Le glioblastome multiforme (GBM) est la tumeur primitive cérébrale la plus fréquente et la plus agressive de l’adulte. Moins de 5 % des patients diagnostiqués avec une tumeur cérébrale de ce type survivent plus de 5 ans, avec une survie médiane de 15 mois. Cette agressivité est due à une forte capacité de résistance aux thérapies : une récidive à proximité de la tumeur initiale est presque inévitable et fatale dans les 7 à 10 mois suivant le traitement.
Le jeune post-doctorant Gwenann André-Grégoire, du Centre de recherche en cancérologie et immunologie de Nantes-Anger, concentre ses travaux sur l’étude d’une sous-population de cellules tumorales aux propriétés de cellules souches capables d'initier, maintenir et renouveler la tumeur. Ces cellules représentent donc aussi une opportunité d’entraver le développement tumoral et la résistance aux traitements. L’objectif est de comprendre l’effet de la radiothérapie et de la chimiothérapie sur ces cellules et leur microenvironnement.
À terme, les travaux du Dr. André-Grégoire permettront d'anticiper les risques de résistance ou de rechute, et de mieux suivre la réponse au traitement personnalisé.